Le syndrôme de Noonan et la période
néo natale :
Certaines
caractéristiques pendant la grossesse peuvent amener à suspecter un syndrôme de
Noonan
- une augmentation de la clarté nucale au premier trimestre de la grossesse. La clarté nucale est le décollement entre la peau et le rachis qui est normalement inférieur à 3 mm.
- Un hygroma kystique au second trimestre. Ce sont des poches de liquide visibles sur l’échographie du cou du bébé dans le ventre de sa mère. Elles apparaissent au niveau d’une clarté nucale excessive.
- Un épanchement pleural. Dans la cage thoracique, les poumons sont entourés d’une membrane humide composée de 2 couches, la plèvre. Normalement, une petite quantité de liquide lubrifie les surfaces des membranes pleurales. Un épanchement pleural est une accumulation anormale de liquide entre les membranes.
- Un anarsaque est un gonflement de l’ensemble du corps provoqué par une accumulation d’eau.
- Un hydramios est un excès de liquide amniotique apparaissant vers le deuxième trimestre de la grossesse.
- Une
anomalie cardiaque.
Un caryotype est l’étude de la formule
chromosomique c'est-à-dire le nombre et la forme structurale des chromosomes
contenus dans les cellules des êtres vivants. La structure normale est de 23
paires de chromosomes. La formule chromosomique est 46XY pour un homme et 46XX
pour une femme.
Un caryotype normal peut quand même amener à
une recherche génétique. Cette évaluation moléculaire est en pratique
actuellement réservée aux cas familiaux avec mutation connue c'est-à-dire
présence d’un enfant dans la famille qui a le syndrome ou parents porteurs du
syndrome.
Dans les cas où il n’y a pas d’antécédents
familiaux, on ne fait pas de recherche pendant la grossesse. En effet, plusieurs gènes sont à l’origine du syndrome
de noonan et le délai de la recherche génétique ne correspondant pas au 9 mois
de la grossesse.
Le diagnostic
génétique peut se faire, dans ces conditions, sur un prélèvement de placenta
entre 10 et 12 semaines d’aménorrhée ou sur les cellules amniotiques prélevées
par amniocentèse (ponction du liquide qui entoure le foetus) à partir de 15
semaines. Ces examens comportent un risque faible de fausse couche, différent
selon le choix de la ponction, qu’il convient de discuter au préalable en
consultation de génétique. Le test génétique ne permet pas de prédire la
sévérité de la maladie chez l’enfant à naître, ni en terme de malformation, ni
en terme de retard de développement.
Transmission du syndrôme de
Noonan :
Il faut noter que les parents porteurs d’un
syndrome de noonan ont un risque de 50% de le transmettre à leurs enfants. Par
contre un parent atteint du syndrôme de noonan de façon grave peut dans 50% des
cas le transmettre de façon grave, peu grave ou pas du tout.
Néanmoins, le caractère sporadique (= aucun
membre de la famille de la génération et de la génération antérieure n’a pas
cette maladie) a été démontré. C’est souvent le cas quand l’âge des parents est
élevé lors de la conception de l’enfant. La mutation survient donc dans les
gamètes (= cellules reproductrices) d’un des 2 parents ou plus rarement c’est
une mutation de l’œuf fécondé.
Il peut y avoir deux enfants d’une même
fratrie qui peut être atteint du syndrôme de Noonan (1%). Le risque de
transmission ou de donner naissance à un enfant noonan est plus élévé pour le
premier enfant et décroît pour les enfants suivants.
Le syndrôme de Noonan chez le nouveau
né
Le diagnostic peut se faire chez le nouveau
né et s’appuie sur le constat d’une dysmorphie faciale (front haut,
hypertélorisme, oreilles bas implantées, cou court, cardiopathie, problèmes
alimentaires avec prise de poids et taille insuffisante …)
Il se fait par une simple prise de sang qui
est ensuite envoyé au laboratoire Debré à Paris ou à Marseille pour recherche
du gène muté. La recherche prend environ 6 semaines.
Souvent la recherche se fait sur le gène
PTPN11 et SOS1.
La recherche peut revenir négative sur ces
gènes recherchés. Pourtant le patient peut avoir ce syndrome ou un syndrome
apparenté, c'est-à-dire un syndrome qui a les mêmes caractéristiques que le
syndrome de noonan (par exemple le syndrome de Léopard).
La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l'herpès, Tasha Moore, qui a également témoigné au sujet de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center. J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com OU info@drituaherbalcenter.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de médicament à base de plantes. Je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de souffrance du brevet relatif au VIH, je suis guéri et exempt d'arv. Je lui suis toujours reconnaissant Drituaherbalcenter.Voici son numéro de contact: +2348149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Vers, Cancer, Herpès Virus, Hpv, Pile, Erection faible, Maladie de Lyme, Epilepsie, , Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du sein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Cancer de la peau, Lupus, Cancer de l’utérus, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, Dysme de Parkinson, Maladie de Parkinson. Fibrodysplasie ossifiante progressive, syndrome de toxicité de la fluoroquinolone, accident vasculaire cérébral, HPV, érection faible, inflammation du foie et des reins, stérilité masculine / féminine, maladie de l'intestin, maladie de Huntington, diabète, ...
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